Du monde qui t’entoure, tout me rend jaloux
Du savon qui se lave le matin de tes joues
À la brise qui te caresse les cheveux
Au beau soleil qui rayonne dans tes yeux
Tout me rend jaloux
Des habits qui se réchauffent de ton corps
Aux vagues qui meurent de la mer à son bord
Effaçant les traces de tes pieds sur le sable
Pour composer de la chaleur qui reste des fables
Tout me rend jaloux
Des oiseaux qui chantent des mélodies à ta vue
Aux gens qui s’arrêtent pour te voir aux coins des rues
Aux bijoux que tu portes pour les embellir
Sans toi, je ne peux ni composer ni écrire
Tout me rend jaloux
Fine sensibilité et amour chaleureux.
Grand merci Joseph pour le commentaire!
Victor Hugo doit être jaloux de toi.
Merci Imad pour ce beau témoignage!
J’aime bcp ta vision de la femme dans ce poème .. superbe Bach!
Merci Rita pour ce beau commentaire!
Bonjour Bachir,
Très beau, j’aime beaucoup ta vision dans ce poème mais être jaloux à ce point peut causer des problèmes.
J’espère que cette jalousie est simplement ” poétique ” et que la réalité est tout autre.
Yallah encore une chanson.
Amicalement,
Samir
Merci Samir pour ce beau commentaire!
Cependant ici, la jalousie n’est pas celle qu’on connaît d’ordinaire! Ce n’est pas la jalousie d’une autre personne!
C’est être jaloux du savon, qui lui se lave chaque matin de ses joues, de la brise qui lui caresse ses cheveux…etc…
La jalousie se transforme en amour!
Superbe!
Merci Marshall pour ton commentaire!